Neil Gaïman, American Gods, J’ai lu.

« Derrière elle, le chemin se divisait en deux. Ombre devait choisir une branche, il le savait. Avant, toutefois, il avait quelque chose à faire. Plongeant la main dans la poche de son jean, il fut soulagé d’y sentir un poids familier, tout au fond. Il sortit la pièce et la tint entre le pouce et l’index : un dollar liberté de 1922. »

Les vacances approchant à grands pas, je rattrape doucement mes chroniques en retard. Après avoir vu Sandman sur Netflix, j’ai voulu découvrir l’auteur à travers d’autres romans. Je me suis arrêtée sur American Gods, sans trop d’attente. La quatrième de couverture me plongeait déjà dans l’histoire mais je n’étais pas sûre d’apprécier le style. Et pourtant ! Dès les premières pages, j’étais dans l’histoire. Aux amateurs de séries : celle autour de ce roman n’est pas fidèle à ce dernier !

Ombre Moon pense retrouver sa femme en sortant de prison. Mais cette dernière trouve la mort dans un accident de voiture. Ombre rencontre alors Voyageur à bord de l’avion qui le ramène chez lui. Voyageur lui propose d’être son garde du corps. N’ayant plus aucun plan d’avenir, Ombre accepte. Qui est vraiment Voyageur ? Et Ombre Moon ?

Une histoire trépidante où l’on suit avec passion les aventures d’Ombre et de Voyageur. Quelques longueurs sur les passages intercalés qui ne semblent pas faire avancer l’histoire.

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