Dans le cadre du Prix des lecteurs Points avec Version Femina, j'ai pu lire ce roman. La couverture et le titre annoncent clairement le sujet, ou, en tous cas, le contexte : la culture Japonaise. Ibuki, jeune femme, affronte son père : non, elle ne veut pas de la vie qu'il lui propose, mais veut … Lire la suite Cyril Gely, Le dernier thé de maître Soho, Points.
Étiquette : philosophie
Sylvain Tesson, Les Piliers de la Mer, Albin Michel.
"Un art simple comme la chute et vital comme le bain dans les vagues. C'est la gaieté d'un vieil effort dans la jeunesse du monde. La mer, des rochers, le vent, le vide : cela suffit à la chanson. L'âme s'use moins vite dans les rafales salées." J'ai profité des vacances pour lire le nouveau … Lire la suite Sylvain Tesson, Les Piliers de la Mer, Albin Michel.
Sylvain Fort, Saint-Exupéry penseur, Folio essais.
"Immobilité. Silence. Souffle retenu. Là se livre l'essence de l'homme. Dans l'effacement. Dans l'absence volontaire. Dans une présence vibrante à autre chose que soi, et qui pourtant absorbe entièrement l'existence. La confluence entre l'absence et la présence, l'oblation de tout son être qui devient, en retour, accomplissement pourrait bien porter un nom simple : l'attention." … Lire la suite Sylvain Fort, Saint-Exupéry penseur, Folio essais.
Gilles Sicart, Un doute sans vertige n’est qu’un exercice spirituel, Portaparole.
"Si l'on chaussait de vieilles lunettes, on verrait dans le monde d'aujourd'hui bien des choses que l'on n'y voit pas." Lire des maximes et des sentences fait le plus grand bien de temps à autre, pour réfléchir. A soi, à nos agissements, mais aussi (et surtout) au monde qui nous entoure ! Je suis toujours … Lire la suite Gilles Sicart, Un doute sans vertige n’est qu’un exercice spirituel, Portaparole.
Sylvain Tesson, Blanc, Gallimard.
"Dans l'allégeance à la blancheur, la neige sert de réflecteur à l'Imaginaire. On fend la substance des paysages, on est emporté par le flux, absorbé dans l'effort. Soudain, affleurent les souvenirs. Sans raison, apparaît un visage. C'est une visite clandestine née du Blanc. La fille que j'aimais, blanche blonde et bleue, s'invitait souvent dans mes … Lire la suite Sylvain Tesson, Blanc, Gallimard.
Thierry Marx, Celui qui ne combat pas a déjà perdu, Flammarion
"Je préfère l'altruisme à la bienveillance. L'altruisme, c'est aider l'autre à s'épanouir, c'est voir en l'autre un potentiel, un talent. C'est lui dire :" tu as juste besoin d'un petit coup de main et tout va bien se passer. " La bienveillance, c'est une approche un peu fausse, un peu fade. La bienveillance n'engage que … Lire la suite Thierry Marx, Celui qui ne combat pas a déjà perdu, Flammarion
Christine André, Chadna un chien pas ordinaire, Librinova.
"Ils veulent rapidement satisfaire leurs envies et si possible sans trop dépenser. Enfantin, irresponsable me direz-vous ? Peut-être, mais notre société de surconsommation, hyper pressée, bien trop stressée, ne laisse que peu de place à la réflexion et à la patience. Voilà une des raisons pour laquelle les "usines à chiens" et autres entreprises de … Lire la suite Christine André, Chadna un chien pas ordinaire, Librinova.
Nicolas Machiavel, Discours sur la première décade de Tite-Live, Les Belles Lettres
"Le hasard a donné naissance à toutes les espèces de gouvernement parmi les hommes. Les premiers habitants furent peu nombreux, et vécurent pendant un temps, dispersés, à la manière des bêtes. Le genre humain venant à s'accroître, on sentit le besoin de se réunir, de se défendre ; pour mieux parvenir à ce dernier but, … Lire la suite Nicolas Machiavel, Discours sur la première décade de Tite-Live, Les Belles Lettres
Aly Deminne, Les bâtisseurs du vent, J’ai lu.
"Pauvre est le riche qui considère toujours son tout comme pas assez. Riche est le pauvre qui parvient toujours à faire du peu qu'il a son suffisant. De fait, il vaut mille fois mieux être un pauvre riche qu'un riche pauvre." "Ceci dit, il regrimpa au sommet. Et en gravissant son échelle, le bâtisseur réalisa … Lire la suite Aly Deminne, Les bâtisseurs du vent, J’ai lu.
Emmanuelle Ménard, l’Ascenseur, l’échappée belle.
"MONTAIGNE- Oui c'est cela. La langue est le miroir idéal pour en apprendre sur la société : (Il montre son sac) Vous voyez, dans ma besace j'ai un calepin où je note tout ce que j'entends chez vous depuis deux jours. Tenez, je prends au hasard une liste : TGV, jogging, se grouiller, montre quartz, … Lire la suite Emmanuelle Ménard, l’Ascenseur, l’échappée belle.
