Frédéric Baptiste, L’étoffe de nos rêves, Julliard.

"Arthur est mort ce matin et Gaëlle est à présent tondue. Il le fallait. Si elle n'avait pas trouvé de ciseaux, elle se serait arraché les cheveux un à un. Quitte à se rendre laide. Son apparence physique n'a plus aucune importance. Tandis qu'elle rassemble les mèches éparses sur le carrelage et les dépose dans … Lire la suite Frédéric Baptiste, L’étoffe de nos rêves, Julliard.